Pour une critique mal digéré par l'auteur du livre "Papoua", Cynthia se voit insultée et submergée de mails les plus orduriés. Pour montrer le
niveau de ce sinistre individu (Jean-Claude Derey), voici quelques extraits de sa prose fleurie :
« Votre critique de Papoua est le juste reflet de vos limites que vous projetez avec une absence d'humour et de finesse d'esprit. Apprenez donc
d'abord à vivre, puis à lire. Et enfin à écrire. Les chiens de la steppe mongole hurlent avec plus d'élégance que vous. Vous dîtes ce que vous pensez. mais pensez vous vraiment?
Vos mots sont bulle de savon qui vous donnent l'impression d'exister et qui crèvent au premier vent du large.
J'accepte la critique quand elle est constructive mais pas les lallations et gazouillis de pétasses. Bien à vous, JCD »
« dernier point et je vous oublie: je viens de jeter un oeil sur Cynthia Wikipédia: Votre nombrilisme pathétique ne peut se nourrir de lectures
du grand large. ceci explique cela! Quel égotisme! Un jour, je vous emmènerai au coeur de l'Amazonie, vous frotter aux réalités du monde! En lecture, cela va de soi! C'est bien ce que je
pensais, vous êtes une créature qui n'est pas encore sortie de son cocon et qui croit entendre pousser ses ailes. Vous devez vous piquer d'écrire. Mais vos vagissements de critique " hautement
litteraire " accouchent d'une souris.
Je pensais les belges plus éveillés. Vous êtes consternante de suffisance et de bétise. vérité vraie, Inutile de répondre, je
vous laisse barboter dans vos rêves aussi sucrés que la barbe à papa. «
"De l'avis unanime de mes amis journalistes qui ont parcouru vos " critiques ": une débile frustrée, qui ferait mieux de s'orienter vers le
repassage ." Désolant, non ? Moi, j'ai été moins virulent: vous n'existez pas comme être humain et comme critique? Vous avez devant vous de beaux jours de famine. Lisez donc la collection Harlequin, au dessus de vos moyens intellectuels mais qui devrait vous satisfaire."
Voici le niveau d'un écrivain qui n'a rien d'autre a faire que d'aller sur les blogs pour voir les critiques sur son livre, pensant sûrement ne recueillir que louanges et vivats de la foule en
délire. Dans le genre nombriliste, c'est du haut niveau.
Ce livre je ne l'ai pas lu, je n'en avais jamais entendu parlé jusqu'a ce jour et une chose est sure je ne lirai pas car je suis surement trop peu intelligent pour pouvoir apprécier cet ouvrage.
Ce qui est surprenant c'est que ces attaques contre les blogs se font de plus en plus fréquemment comme ci ils dérangeaient l'ordre établi. On n'est pas des critiques de métier mais on a le droit
de donner son avis.
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C'est quand même curieux que même des auteurs "bien installés" soient à l'affût de ce qu'on peut dire d'eux sur les blogs et prennent la mouche pour un avis différent, même si on a aimé leur<br />
livre... Pas de noms... ;-)<br />
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J'aime bcp le billet de Tulisquoi qui rappelle ce qu'est la liberté d'expression et les droits du lecteur énoncés par Pennac.<br />
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Oui c'est tout simplement consternant ! Quel sang-froid elle a notre Cynthia, moi je crois que je lui aurais fait sa fête au Derey. Eh oui, si la diplomatie ne fonctionne pas, il faut sortir les<br />
dents.<br />
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